Info pratique : faites un petit peu de change à l’aéroport et ensuite retirez de l’argent dans un distributeur (voir avec votre banque les frais bancaires à l’étranger). 1 Quetzal = environ 0,13 euros suivant le cours…
L’arrivée au Guatemala ?? débute avec quelques surprises puisque à l’attente des bagages, nous découvrons que seul mon sac est présent sur le tapis roulant… les deux autres sont restés à Madrid 😉
Il faudra 3 jours pour qu’ils nous soient livrés. L’occasion pour nous de tester les assurances voyages et de faire un peu de « shopping » pour racheter des produits de première nécessité.
Depuis l’aéroport, nous prenons un taxi ? pour filer directement vers Antigua car il n’y a rien de particulier à voir à Guatemala City et la ville, dit-on, n’est pas très sûre. Le taxi n’est pas plus cher qu’un shuttle bus si l’on est plusieurs à voyager (comptez 30 euros).
Nous avons trouvé un petit hôtel type auberge de jeunesse très correct au niveau rapport qualité/prix avec des chambres privées dans le centre ville : El Extranjero. Les chambres sont simples mais il est bien situé. Il y a deux salles de bain communes, ainsi qu’un frigo et un micro-ondes.
Antigua, touristique mais authentique malgré tout
La ville d’Antigua est magnifique et très paisible. Pas étonnant qu’elle soit touristique : des ruelles pavées, des façades colorées et des boutiques / restos à la déco digne d’un parc d’attraction ! Ajoutez à cela un arrière plan avec des volcans ? …. dépaysement et émerveillement garantis !
Pendant la journée, il suffit de déambuler et de se laisser guider… Bien sûr, impossible de passer à côté de l’Arche de Santa Catalina, du Central Park avec la cathédrale Saint Joseph, sa fontaine et ses vendeurs ambulants, les arches de « Union Tank » ou encore Hill of the Cross sur les hauteurs de la ville pour un joli point de vue.
Pour déjeuner comme les guatémaltèques, le mieux est d’aller au mercado central qui possède un endroit pour s’asseoir et manger pour un petit budget. Certes ce n’est pas de la grande restauration mais c’est typique et l’accueil est adorable 😉
Deux activités immanquables : l’atelier du chocolat et le treck du volcan Acatenango
Mon premier coup de coeur : l’atelier du chocolat.
Cette activité est proposée au Choco Muséo près de la place centrale. Enfilez votre tablier pour 2h et découvrez en groupe (une dizaine de personne) comment l’on passe du cacao au chocolat (atelier en anglais).
Pour se mettre dans l’ambiance, on commence par fabriquer sa tablette ou ses bonbons en chocolat : un régal pour les gourmands 🙂
Une fois le chocolat déposé, il vous suffit d’ajouter divers ingrédients : des morceaux de noix de coco rapés, des cranberries, des noix, du sel, du piment… il y en a pour tous les goûts 😉 Dès que c’est prêt, tout est mis au frais et vous repartez avec en fin d’atelier !
Place ensuite aux explications très pédagogiques de notre animatrice (Joseline) pour comprendre les types de fèves et le procédé pour confectionner du chocolat.
Car pour fabriquer du chocolat, il faut des fèves de cacao et pour avoir des fèves de cacao, il faut cultiver le cacaoyer.
Cet arbre qui produit les fameuses fèves de cacao, ne pousse pas partout. C’est principalement en Afrique, dans les régions chaudes et humides, qu’on le cultive mais également en Amérique latine et en Asie du Sud-Est.
Le saviez-vous ? On appelle cabosse le fruit du cacaoyer. Riche en matière grasse, elle contient de nombreuses graines, les fameuses fèves de cacao.
On compte aujourd’hui 3 principales variétés de cacao.
La plus cultivée s’appelle la Forastero et représente 79% des récoltes. Dotées d’un arôme fort voire amer, ces fèves sont davantage utilisées dans la pâtisserie.
Quant à la variété Criollo, il s’agit de la plus rare puisqu’elle est aujourd’hui la moins cultivée, représentant seulement 1% des récoltes. Pourquoi ? Son cacaoyer est fragile, tout comme son fruit, la cabosse. En plus d’être une variété fragile, le rendement n’est pas très conséquent. Jaune, verte ou rouge, la cabosse contient des fèves de couleur pâle. Son parfum délicatement fleuri et son goût raffiné en font du chocolat savoureux.
Enfin, il y a la Trinitario (nom originaire de Trinidad au Vénézuela). Elle représente les 20% restant de la production de cacao. C’est une fève de cacao dite hybride. En effet, elle est un croisement entre les variétés Forastero (rendement important) et Criollo (saveurs uniques). De couleur rouge ou orange, la cabosse fait naître des fèves au goût et aux senteurs proches de la Criollo.
Une fois que l’on a la cabosse, il faut 5 phases pour préparer le cacao :
- l’ouverture du fruit pour récupérer les fèves de cacao,
- laisser 10 jours de fermentation,
- puis mettre les fèves 12 jours au soleil,
- faire le « roasting process » : on sépare la pellicule de la fève finale. Avec la pellicule, on fait des thés, de la bière…
Pour mieux comprendre chacune des étapes, nous sommes mis à contributio. Ainsi, pendant le roasting process, chacun doit passer et se présenter tout en faisant attention de ne pas brûler les fèves 🙂
Nous goûtons également un thé préparé à base de la pellicule, un régal 100 % naturel.
Il reste maintenant la fève de cacao finale 🙂
- la dernière étape : piler le cacao
Là encore, nous avons un petit challenge : tenter de broyer à la main le plus rapidement possible les fèves de cacao à l’aide d’un pilon.
Pendant toute la séquence, Joseline nous présente comment, à l’origine, les mayas se servaient du chocolat. Par exemple, nous apprenons que les mayas célébraient le Dieu qu’ils pensaient être celui qui avait planté le premier cacaotier en buvant une boisson produite avec du chocolat broyé 100%, du Chili, du poivre, du miel et de l’eau chaude. Nous préparons cette mixture puis nous la goûtons… étonnant !
Maintenant que le cacao est prêt, pour en faire du chocolat, il suffit de lui rajouter du sucre. Comptez 22h pour cette dernière étape et votre chocolat est prêt !
Mais au fait, avec du cacao, on peut faire autre chose que du chocolat ? La réponse est oui !
Dans une fève de cacao, on trouve 75 % de beurre de cacao et 15 % de cacao. Avec le beurre de cacao on peut faire des crèmes, des baumes et du chocolat blanc.
Mon second coup de coeur : l’ascension du volcan Acatenango
Pour les plus courageux, je vous recommande vivement l’ascension du volcan ? Acatenango pendant 2 jours et une nuit avec Asoava Tour, une petite agence locale qui fait vivre près de 20 personnes et qui possède le camp de base le plus haut ! Pour voir le volcan Fuego en éruption selon moi il n’y a pas mieux rapport qualité / prix. Comptez 60 euros par pers (transport aller/retour depuis votre hébergement, prêt de vêtement chaud, bonnets, gants, entrée au parc, dîner + petit dej et eau). C’est très rudimentaire mais cela suffit amplement pour une nuit telle que celle-ci !
En revanche, prudence, l’ascension est vraiment difficile avec un sac d’environ 6/8 kilos sur le dos. On monte à 3970 m et le dénivelé est de plus de 1700 m. Mais si vous le souhaitez, sachez qu’il est possible de faire porter votre sac (aller/retour ou seulement l’aller) ou de monter à cheval moyennant des suppléments.
Je n’ai pas choisi ces options et croyez-moi je m’en suis voulu plusieurs fois pendant la montée vers le sommet ! Même si je suis sportive, le dénivelé était vraiment hard pour des personnes comme nous qui ne faisons jamais de randonnée. Comme j’ai un mental d’acier je n’ai pas abandonné mais une fois arrivée au sommet j’ai craqué ! Des larmes de joie se sont mises à couler le long de mes joues 🙂
Une fois là-haut, il est possible de faire 1 excursion complémentaire (payante) : en soirée, pour aller encore plus près du volcan Fuego en éruption. Nous n’avons pas souhaité en rajouter une couche à nos corps déjà éprouvés par près de 6 h de marche, sachant qu’il fallait ensuite redescendre !!!!
Surtout que depuis le camp de base, le spectacle était déjà intense et inoubliable. Le bruit du volcan en éruption crachant sa lave et la fumée qui s’y dégage sont à couper le souffle. On se sent tellement petit face à cette nature si puissante.
Nous avons été très chanceux de pouvoir admirer cela pendant cette période de l’année car ce n’est vraiment pas la meilleure saison pour faire l’ascension.
Étonnamment, si nous préférons habituellement ne pas croiser de Français lorsque nous voyageons, cette fois-ci j’ai vraiment aimé le groupe avec lequel nous sommes partis. Il y avait même des Nantais ! Geoffrey, Héloïse et Camille, Carole et Teddy …
Pouvoir parler pendant des moments difficiles m’a vraiment aidé à surmonter la difficulté !
De même, passer la nuit à observer des moments magiques tout en pouvant refaire le monde… Cela n’a pas de prix ! Nous avons pu partager nos expériences de backpackers, c’était vraiment riche. Nous avons d’ailleurs recroisé le chemin d’Héloïse et Camille et c’était à chaque fois un bonheur de se retrouver et repartager des moments ensemble. Le monde est si petit quand on y pense 😉
Avant de passer à un autre endroit, j’aimerais vous alerter sur une chose. Des blogueurs que je suis sur instagram ont tenté de faire un volcan en autonomie sans guide (le volcan Agua). Ils ont eu la malchance de se faire braquer pendant leur ascension. Plus de peur que de mal (seulement du matériel et des bijoux volés) mais c’est un exemple criant pour vous recommander de plutôt passer par des petites agences pour faire ce genre d’excursion et de bien vous renseigner avant de partir dans certains endroits. De même, évitez de sortir seuls la nuit.
S’émerveiller devant le lac Atitlan
Après ces premières émotions fortes, direction ensuite Panajachel près du Lac Atitlan, considéré comme l’un des plus beaux lacs du monde car entouré de volcans.
Nous avons emprunté des « chicken bus », moyen de transport local au coût dérisoire et qui permet de croiser la population locale.
Ils vous rappellent certains bus jaunes ?! C’est normal ! Lorsque les autobus scolaires américains atteignent l’âge de dix ans ou 100 000 kms, ils sont vendus aux enchères. Beaucoup de ces autobus sont acheminés vers le Guatemala et d’autres pays d’Amérique centrale où ils sont préparés pour leur deuxième vie. Ces véhicules deviennent ainsi des autobus et sont repeints et parés de motifs bariolés. Ils font la fierté de leur conducteur et c’est un plaisir de les photographier.
A partir d’Antigua pour aller vers Panajachel, il faut prendre 4 bus au total. Il vous suffit d’indiquer votre destination et les personnes vous guident.
Voici le trajet :
- Antigua -> Chimaltenango,
- Chimaltenango -> Los Encuentros,
- Los Encuentros -> Solola
- Solola -> Panajachel.
Honnêtement cela se fait très bien car lorsque vous dites vers où vous allez on vous dirige direct vers les bons bus. Par contre je vous conseille de garder vos bagages avec vous.
C’est moins facile et sûr qu’un « shuttle bus » de transfert, mais niveau coût c’est bien moins cher.
Ensuite pour aller visiter les jolis villages situés tout autour du lac il vous suffit de prendre un bateau (appelé « lancha ») ou des petits tuk tuk .
Pour l’hôtel, nous avions trouvé une auberge de jeunesse sur Booking mais celle-ci nous a fait faux bond deux heure avant notre arrivée ! Les aléas du Tour du Monde ! Nous nous sommes donc arrêtés dans la rue principale près du lac où il y a des hôtels tout le long de la route et nous avons demandé les tarifs.
Notre budget étant serré, nous avons finalement trouvé une chambre à l’hôtel NIMBO, avec deux grands lits propres et avec de l’eau chaude. En restant 4 nuits sur place, nous avons pu négocier un bon tarif.
Faites comme nous, négociez !
Ne pas hésiter à le faire pour obtenir de meilleurs tarifs car ce genre de petits hôtels ne sont pas forcément répertoriés sur Booking et autres.
Depuis Panajachel, nous avons profité d’une première journée pour découvrir San Juan la Laguna, puis San Marco. San Juan la Laguna c’est un petit paradis, ma ville préférée autour du lac. Avec toutes ses couleurs, ses oeuvres de street art au mur et ses musiques lorsque l’on se balade, on se laisse émerveiller et l’on perd la notion du temps. La balade est un enchantement.
Bon à savoir, près de l’église les samedis et dimanches, les locaux proposent un buffet peu onéreux avec du poulet grillé à la plancha à tomber !
Grosse déception en revanche après autant de beauté en arrivant sur San Marco La Laguna. En effet, si vous n’êtes pas dans le trip des ambiances hippies ou en quête spirituelle et mystique, passez votre chemin, il n’y a rien de particulier à voir.
Dernier village que nous avons fait et particulièrement apprécié autour du lac, c’est Santa Catarina Palopo. A pied depuis Panajachel, comptez une petit heure de marche. A l’entrée du village, je vous conseille de passer par l’escalier sur la gauche qui permet d’arriver par les hauteurs et les ruelles escarpées. Nous avons aimé l’atmosphère vraiment authentique en comparaison avec les autres villages du lac. Il y a même des eaux thermales, naturellement chaudes. Vous y trouverez des femmes faisant leur douche.
Semuc Champey : comtempler la beauté de la nature avec ses piscines naturelles et ses singes hurleurs.
En partant vers Semuc Champey, je vous recommande de passer à Chichicastenango où se déroule chaque jeudi et dimanche le plus grand et le plus vieux marché d’Amérique Centrale. Profitez-en aussi pour aller visiter le cimetière car ici ils sont aussi colorés que les villages et vous pourrez assister à certaines cérémonies mayas.
Ensuite, comme toujours au Guatemala, deux moyens de transport possibles, soit en shuttle bus, soit en chicken bus ou collectivos. Nous avons décidé de le faire en plusieurs étapes afin de continuer à découvrir le pays. Pour cela nous avons fait deux stop : un à Uspatan et un à Coban avant d’arriver sur Lanquin, la ville à proximité du site de Semuc Champey.
La chambre que nous avons trouvé était parfaite, je vous la recommande, il s’agissait de la Casa Mary.
Le lendemain, nous trouvons un pick-up pour nous emmener en direction de Semuc Champey. Comptez 25 Q par personne l’aller et soyez prévenus, la route bouge beaucoup et vous êtes debout, il faut s’accrocher.
Mais au fait Semuc Champey c’est quoi ?
Il s’agit d’une aire protégée dans le département d’Alta Verapaz au Guatemala près de la ville maya de Lanquín. Le site est une enfilade de piscines turquoises au beau milieu de la jungle luxuriante. Un des plus beaux sites du pays qui offre une marche dans la forêt tropicale et une baignade absolument divine dans les bassins paradisiaques.
Les frais d’entrée sont d’environ 50 Q (soit 6€). Une fois votre billet en poche, commencez par faire la randonnée de 45 minutes pour accéder au mirador, un point d’observation qui offre une vue panoramique imprenable sur le site.
Ensuite vous pouvez ressortir pour manger des plats locaux et enfin revenez pour la baignade le reste de l’après-midi.
Tikal et El Remate : pour finir le séjour en beauté
Après tant de beaux moments, il est temps pour nous de reprendre la route en collectivos pour la dernière étape avant le Mexique : Tikal.
Pour s’y rendre, beaucoup s’arrêtent dans la ville de Flores, mais nous avons préféré séjourner à proximité, dans le petit village d’El Remate. Sans regrets ! Nous recommandons largement cette solution !
D’une part parce que le village est très paisible et moins touristique que Flores, d’autre part parce que le village est sur la route de Tikal, à seulement une trentaine de kilomètres. Nous avons par exemple beaucoup apprécié de pouvoir profiter du lac, soit comme les locaux avec le plongeoir, soit en utilisant Ies infrastructures (piscine, douches, ponton) de l’hôtel El Muelle pour 25Q par personne la journée.
Notre hébergement aussi était un bon choix : Jungle Place for rent. Un loft sur Airbnb situé à proximité du centre, mais sur les hauteurs, en bordure de forêt. Hyper calme et avec toutes les commodités (cuisine, eau filtrée…). La nuit vous pouvez même entendre des singes hurleurs qui sont dans la forêt voisine.
Nous avons passé au moins 3 journées sur place et c’était idéal avant de partir en direction du Mexique.
Quel souvenir la découverte du site archéologique de Tikal ! Attention, prévoir de l’anti moustiques et/ou des vêtements longs. En hors saison, c’était parfait car il y avait très peu de monde sur le site. Nous avons fait la visite en une demi-journée, en arrivant sur le site vers 7h du matin. Avec notre budget serré, nous avons fait le choix de ne pas prendre de guide, surtout qu’ils parlent souvent soit anglais soit espagnol. Nous avons préféré télécharger un guide la veille.
Infos pratiques :
Nous y sommes allés en collectivo encore une fois par celui de 6h30 du matin qui passe à El Remate pour emmener les travailleurs du site (30 Q par personne pour l’aller. Pour le retour, c’est plutôt 40 Q, ils sont malins et savent que vous avez besoin de rentrer.
Prévoir votre passeport ou une copie pour l’entrée + 150 Q pour l’entrée du parc.
Même si nous ne sommes pas des grands fans d’histoire et de vieilles pierres, impossible de ne pas être subjugués par le site de Tikal. En effet, parmi les nombreuses cités précolombiennes perdues au coeur des forêts du monde maya, Tikal est visiblement l’une des plus impressionnantes, tant par la qualité de ses vestiges et leur mise en valeur que par l’étendue de son site et la beauté de son cadre. Les lieux sont couverts d’une épaisse forêt tropicale, peuplée d’une faune nombreuse et bruyante ! Ici les coatis se déplacent en total liberté, tout comme les nombreux oiseaux ou singes hurleurs.
Pour finir, nous avons parcouru les ruelles de Flores et son île. Cela a également été l’occasion pour nous de faire le tour des agences de voyages pour organiser le trajet entre El Remate et Bacalar (au Mexique) via le Belize.
Je vous conseille sincèrement de faire comme ça si vous souhaitez partir ensuite vers le Mexique car les agences ont vraiment l’habitude d’organiser ces « convoyages » et vérifient les papiers qu’il faut présenter, vous aident si nécessaire… Bref, c’est plus rassurant. Les passages de frontières sont toujours un moment délicat dans un voyage alors si on peut se faciliter la tâche…
10h et 3 passages de frontière nous voici au Mexique ! Nous avons réussi à négocier 350 Q / pers le trajet (vous devrez également vous acquitter des taxes au frontières).
Voilà les amis, vous savez presque tout sur notre voyage au Guatemala, le pays des quetzals, ces oiseaux rares, symboles du pays et qui étaient même sacrés pour les Mayas. J’espère vous avoir donné envie de partir vous aussi à la rencontre des Guatémaltèques et de leur beau pays.
Si vous avez des questions, n’hésitez pas à me les poser en commentaire, je suis toujours heureuse de vous aider.
Pour finir, j’avais envie de vous partager ces petites anecdotes qui m’ont surprises au cours du voyage :
- Les femmes guatémaltèques sont les plus petites du monde ! 1m51 en moyenne
- Il y a beaucoup de chiens errants dans le pays mais rassurez-vous ils sont très gentils et inoffensifs
- Bon plan pour les voyageurs français : allez sur les groupes Facebook de type : « les français au Guatemala », etc… vous retrouverez une mine d’infos et de bons plans 😉
- Pour les amateurs de glace, les Guatémaltèques en sont très friands ! On trouve des petits vendeurs partout et pour quelques quetzals on peut savourer beaucoup de cornets !
- Le plat typique du Guatemala sera toujours composé de tortillas, préparés par les femmes, et de haricots rouges. Ils sont quasiment toujours accompagnés de riz et de viande.
Coucou Claudie
Je suis la maman d’Arthur
Avec maman Claudie nous suivons toutes vos aventures et la lecture de ton bloc est super cela nous donnerais bien de envie de voyage.
Bises
Oh merci beaucoup je suis touchée par ce message et ravie de voir que cela vous permet de voyager un peu avec nous 😉 Grosses bises à vous et au plaisir de faire ta connaissance au retour en France !
Bonsoir Claudie ,très beau reportage j’ai trouvée les paysages merveilleux ,mais je me vois pas à mon âge faire ce voyage dommage .bonne continuations bises Annette
Tout y est, ça donne vraiment envie ! Un grand merci pour ce partage !
Merci à toi pour ce commentaire ma belle marie !